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Samedi 29 Septembre 2012 :


Le fan-club de Laurent Le Doyen, créé par Magali et Romy, organisa une réunion pour assister à une représentation de « Macbeth » , dirigée par Philippe PENGUY au théâtre du Ranelagh avec dans le rôle titre, s’il vous plait, notre Laurent.
Quelle belle pièce en perspective et quel rôle pour Laurent!!! Quelles retrouvailles pour les membres du Club qui ne se sont pas revues depuis « Réveil » il y a un an, à Reims. Nous étions toutes prêtes pour...

Mais tout d’abord, le petit parcours du jour des « filles des grands chemins » : Cette rencontre du fan-club a fait prendre à nouveau son train à une certaine suissesse de mes amies qui, séduite par Laurent depuis une certaine visite de Versailles, sur les traces du « Gerfaut », ne voulait pas manquer ce nouveau rendez-vous. J’avais pris une nouvelle amie-fan de Laurent toute autant au passage – Emilie, ma mère et ma fille qui me suit maintenant quand je vais voir Laurent au théâtre (c’est bien ma fille, tu as les même goûts que ta mère!) et nous avons pris la route pour Paris et la Gare pour y récupérer Linda. La traversée de Paris – même sous un splendide soleil – est toujours périlleuse en plein samedi mais nous avions prévu « large » pour être sûre de rejoindre le reste du groupe bien avant la représentation pour aller diner ensemble. Cela nous a permise de faire une petite photo souvenir avec la Tour Eiffel comme décor!
Nous avons ensuite retrouvé le reste du groupe : Magali, Armelle, Sophie, Hélène et sa

 maman (oui nous avons tendance à « contaminer » notre entourage pour les amener ensuite avec nous!!!Quant à nos amies, la dernière contaminée ne pouvant venir ce soir là, se fera la séance du lendemain, n’est-ce pas Solenne  , Séverine et Christine et après un petit verre pour attendre l’heure d’ouverture du théâtre, nous étions enfin prêtes sur nos sièges respectifs pour assister à un sacré spectacle qui nous allait littéralement nous « scotcher » sur place…

L'affiche de la pièce

Le spectacle est grandiose… la mise en scène d’une efficace simplicité qui « déborde » dans la salle et nous donne l’impression de faire partie de l’histoire – une mention spéciale pour l’idée de ce drap qui recouvre la scène au départ et d’où apparaissent les 3 sorcières qui prédisent à Macbeth une destinée royale qui fera sa perte et pour ces petites touches de musique qui rythme la pièce et que dire de ce combat exécuté au ralenti dans une ambiance lumineuse du meilleur effet – des acteurs tous aussi bons les uns que les autres et LAURENT… dans ce rôle titre dont nous savions qu’il était LE rôle qu’il a toujours voulu jouer. Il nous a confié « Après Macbeth, je peux tout jouer », nous confirmons… Tu nous as montré un Macbeth grandiose, ambitieux, lâche, torturé par ses remords qui l’amèneront au bord de la folie! Les 2 heures du spectacle n’auront duré qu’un instant tant nous étions sous le charme de cette version de Macbeth qui nous a bluffé, nous avions assisté à du GRAND théâtre… mais je vous entends d’ici, nous sommes fans, forcément nous allions trouvé la pièce sensationnelle, elle l’est de toute évidence par sa mise en scène originale, servie par des acteurs talentueux mais si vous n’êtes toujours pas convaincu, lisez ce qu’en pensent les autres en admirant la superbe affiche dessinée par Laurent Le Doyen

LA TRIBUNE : Dans une mise en scène tout en symboles, on retrouve avec bonheur tous les méandres de l’âme humaine. (—) Cela commence comme dans un songe. On ne sait où se trouve la ligne d’horizon, la terre semble se mouvoir et se liquéfier jusqu’à l’apparition des trois sorcières. La pièce de Shakespeare est un morceau de bravoure où chaque personnage est ciselé, bijoux sans éclats, rongés par leurs turpitudes. Laurent Le Doyen dans le rôle titre est particulièrement émouvant. Triste sire à la volonté trop molle pour ne pas se laisser emporter par ses instincts les plus vils. Quelle leçon de philosophie. Quelle étude humaine, quelle épopée moderne. Un très beau moment théâtral. 
Pascale Besses-Boumard.

REG’ARTS : Il faut du courage, de la foi et de la passion – et peut-être une dose d’inconscience – pour s’attaquer à une telle oeuvre où se mêlent grandeur, complots, assassinats, ambition, folie et remords, fantastique et poésie. Philippe Penguy nous en propose, dans ce magnifique théâtre du Ranelagh dont les sombres boiseries conviennent parfaitement à l’univers tourmenté de l’auteur, une version à la fois épique et classique. Nicole Bourbon.

FROGGY’S DELIGHT : Le décor de Sylvain Cahen est réussi et les costumes de Marie-Hélène Repetto simplement sublimes. La beauté de ce théâtre magnifique participe au charme et la foi de cette vraie troupe emporte l’adhésion. Christian-Luc Morel.

MAGLM (Mag elle aime) :Voici une production shakespearienne plutôt rare (Macbeth n’est pas souvent monté) et tout à fait réussie. Texte excellent, tendu comme un arc, que le metteur en scène Philippe Penguy a à peine raccourci en adaptant la traduction de Jean-Michel Déprats. Sa mise en scène est résolument dynamique : il utilise toutes les ressources du théâtre pour agrandir ce qui peut sembler un « petit » plateau pour une pièce comme celle-là. Agnès Valentin en lady Macbeth est impeccable, tant au début de la pièce où, calculatrice et sans état d’âme, elle pousse son époux au régicide, que dans la scène de somnambulisme où, dévorée par le remords, elle n’est plus que le spectre d’elle-même.

THEATRES.COM : Le théâtre du Ranelagh démarre en fanfare sa saison par le non moins mythique Macbeth. Ce spectacle événement, s’appuyant sur une scénographie épurée, tient toutes ses promesses tant la mise en scène de Philippe Penguy nous rappelle l’âge d’or des films de capes et d’épées. Exportant le spectacle dans la salle même, Philippe Penguy, plonge le public au cœur de l’action. La troupe de comédiens décline avec talent l’une des œuvres majeures du grand Will. Les comédiens sont justes et nous procurent plaisir et émotions qui couronnent cette belle réussite. Laurent Schteiner

Mais laissons parler Philippe PENGUY de sa pièce :

A chaque rencontre, à chaque spectacle de Laurent Le Doyen, notre cher acteur et ami nous rejoint évidemment pour le verre de l’amitié et pour Macbeth, il y avait du monde!
Laurent est toujours aussi charmant et disponible pour les fans de son travail que nous sommes. Il n’est jamais fatigué de répondre à nos questions, il se prête toujours avec enthousiasme au jeu des photos souvenirs et des dédicaces. Ce fut donc une fin de soirée mémorable, pleine de fous rires que nous avons terminé très très tard. Bon, la prochaine fois, Hélène, tu devras rester jusqu’au bout pour la photo de groupe et Solenne, au prochain spectacle, nous te voulons aussi avec nous…

Alors, cher Laurent, encore un grand merci, assister à ta performance fut un régal (que nous sommes bien tentées de refaire) et finir la soirée avec vous tous autour d’un verre, je crois qu’on peut appeler ça, sans l’ombre d’un doute :

« Une EXCELLENTE SOIRÉE »

Je ne peux finir un compte-rendu sans vous montrer les petits trésors que je ramène toujours d’une aventure Benzonienne, à savoir, une belle dédicace de Laurent ainsi que celle faite à ma fille et la photo des « filles des grands chemins », dont je crois qu’il est temps de créer une troisième carte de nos « chemins » parcourus depuis la dernière en date..

Donc affaire à suivre et Rendez-vous très bientôt pour une nouvelle réunion du Fan Club de Laurent Le Doyen, qui reste malgré tout notre Gilles de Tournemine! En attendant vous pouvez aller sur le site de Linda et lire son compte-rendu de la soirée, c'est par ici : 

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